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1. François Garczynski dit :

   21 septembre 2011 à 8 h 12 min

   Attention : compléter l’écologie avec le préfixe archéo- et le 6ème sens
   Courriel ouvert 19.09.11 d’abord aux organisateurs des Assises chrétiennes de l’écologie à St-Etienne (Loire)
   François Garczynski lundi 19 septembre 2011
   agronome, ingénieur du génie rural des eaux et des forêts (retraité depuis 2002)
   34 avenue La Bruyère 38100 Grenoble T 04 76 51 05 90
   Pièces jointes : co=courriel ouvert, co-oe=courriel ouvert-open email, nlle=nouvelle, ndl=note de lecture, cpcl=copier-coller

   D’après le programme des Assises chrétiennes de l’écologie du 11 au 13 novembre 2011 à St-Etienne (Loire) et 7 intervenants, l’arbre champêtre pilier de l’environnement rural risque d’en être exclu !

   Ce co fait suite au co 02.09.11(ter). L’arbre champêtre, truc1[ndl Scénarios du futur] ou ruse2 de la nature ? [ndl Engagez-vous]. Arbre exclu, comme de La création au risque de l’environnement 3 [ndl Créationrisquenvironnement(bis)] ? J’en relie une phrase p. 28 « Il existe un au-delà des relations entre les hommes, une interdépendance de toutes les choses, de toutes les espèces, visibles et invisibles » au 5ème alinéa du co 02.09.11(ter) : « L’écologie serait aussi incomplète sans la contribution du 6ème sens et notamment du savoir-faire des sourciers ». Sourcier amateur depuis 20 ans – 5 avec pendule et 15 à mains nues –, je travaille les dessous d’arbres et clochers bizarres pour intéresser la médecine aux maisons à cancers présupposées par des médecins, d’après leurs patients habitant tour à tour la même maison ou en même temps le même immeuble [co-oe 20.03.11(ter)]. Pourquoi ne pas intéresser Mgr Jean-Charles Descubes à 3 clochers du 76 : 2 tors à Bures-en-Bray et Offranville, et 1 penché à St-Léger-aux-Bois travaillé en octobre 2010 [co 12.10.10(V)] ; et Mgr Marc Stenger au clocher tors de St-Rémy de Troyes au dessous travaillé en avril 1997 ? Sans enseigner la radiesthésie dont néanmoins un minimum est indispensable à la sourcellerie alias géobiologie, je fais reconnaître à des personnes, individuellement ou en groupe, leur aptitude à sentir des anomalies souterraines surtout fixes et nocives pour la santé et d’autres instables et inoffensives avec pieds ou/ mains [Sous-sol, pieds et mains]. Plus de femmes que d’hommes ont cette aptitude, souvent sans le savoir : « Faites attention à la manière dont vous écoutez. Car à celui qui a, il sera donné ; et à celui qui n’a pas, même ce qu’il croit avoir lui sera retiré » [Luc 8, 18 (TOB)].
   L’arbre champêtre est exclu de livres notamment d’agriculture4, 5, 6, 7 [ndl Livre noir de l’agriculture, ndl Inquiétant principe de précaution, ndl Faire des enfants tue, ndl Changer de civilisation] mais non d’autres8, 9 [ndl Transition écologique, ndl Agriculture bio environnement] négligeant l’inutilité d’engrais chimiques : à long terme ils ne servent à rien 10 [ndl Riz, enjeux écologiques, arbuste 4-05 avant-dernier alinéa]. Michel Griffon11 [ndl Nourrir la planète(bis)] admet l’échec à long terme de la révolution verte, donc surtout des engrais chimiques, et rêve d’une révolution doublement verte sans l’expliciter. La vraie révolution doublement verte, c’est de replanter l’arbre champêtre qui multiplie les récoltes par 2 à 10 en plus ou moins 20 ans. Arbre exclu aux 50 ans du CCFD-Terre solidaire : co 29.03.11 ciblant notamment Hervé Kempf et co 09.04.11 ciblant notamment Mathieu Calame ; tous les 2 sont annoncés à St-Etienne.
   Je ferai l’éloge de l’arbre champêtre à Millançay (Loir-et-Cher) le 30 septembre [cpcl Entretiens de Millançay 2011] : à refaire à S-Etienne en y encourageant la grimpette du terril houiller de l’Eparre où je conduisis de 1975 à 1978 une expérimentation d’épandage de boue résiduaire liquide, de semis de balayures de grange et de plantation d’arbres [co 04.05.09(ter) 2ème alinéa]. L’écologie serait incomplète sans archéoécologie au moins depuis 4,5 milliards d’ans. Citer des noms sans critiquer des gens mais leurs idées, c’est le B-A.-BA de la quête scientifique [co-oe 03.05.10(ter)]. Je cible des écrits de Pierre Rabhi, aussi annoncé à St-Etienne [nlle 7-00, ndl Part du colibri] : il n’y a pas de sol nourricier ni d’agroécologie ni de compostage de déchets biodégradables, sans arbre à moins d’environ 100 m de tout bout de champ.
   En bref, ces Assises chrétiennes de l’écologie risquent de mériter 2 critiques, formulées par Anne Soupa et Christine Pedotti 12 [ndl Les pieds dans le bénitier] : paresse intellectuelle et paresse spirituelle…

   1.Joël de Rosnay (2008) : 2020 Les scénarios du futur Fayard p. 41
   2.Stéphane Hessel (2011) : Engagez-vous Ed. de l’Aube (dos du livre : Jean Viard, directeur de la collection Monde en cours)
   3.Introduction par Mgr Jean-Charles Descubes et Mgr Marc Stenger (2008) : La création au risque de l’environnement Cerf
   4.Isabelle Saporta (2011) :Le livre noir de l’agriculture Fayard
   5.Gérald Bonner et Etienne Gébin (2010) : L’inquiétant principe de précaution, PUF 2010
   6.Michel Tarrier (2011) : Faire des enfants tue…la planète, LIME
   7.Martine Aubry avec 50 chercheurs et citoyens (2011) : Pour changer de civilisation, Odile Jacob
   8.Salvador Juan (2011) : La transition écologique Editions érès
   9.Ouvrage coordonné par Philippe Fleury (2011) : Agriculture biologique et environnement Educagri éditions/ACTA
   10.Guy Trébuil et Mahabub Hossain (2004) : Le riz, enjeux écologiques et économiques, Belin
   11.Michel Griffon (2006) : Nourrir la planète, Pour une révolution doublement verte, Odile Jacob
   12.Anne Soupa et Christine Pedotti (2011) : Les pieds dans le bénitier, Presses de la Renaissance p. 113