Il est mort en défendant ses idées. Rémi Fraisse, 21 ans, a été tué le week-end dernier lors d’une manifestation contre le barrage de Sivens dans le sud-ouest de la France. Ce projet est contesté depuis 2011 par des associations locales de défense de l’environnement. Elles dénoncent son impact sur l’environnement, notamment avec la destruction de treize hectares de zones humides. D’autres projets en France ont fait et font toujours débat, comme la construction d’un aéroport à Notre-Dame-des-Landes dans le nord-ouest, ou encore « La ferme des mille vaches », cet élevage intensif de bovins, dans le nord du pays. Ces projets remettent notamment en question notre modèle de développement. Et aujourd’hui se pose une question : quel environnement souhaitons-nous ? Ce thème revient régulièrement dans les discours du Pape François. Et justement, quelle place ont les chrétiens dans ces luttes environnementales en France ? Nous avons posé la question à Dominique Lang, prêtre assomptionniste. Journaliste au magazine Pèlerin, il travaille sur les questions de l’écologie depuis plusieurs années.Il est interrogé par Audrey Radondy
Le mardi 28 octobre, dans un communiqué, Mgr Jean Legrez l’archevêque d’Albi a déploré « très vivement le climat de violence qui s’est installé autour » de cette affaire. Il a par ailleurs invité « les chrétiens du Tarn à être de vrais témoins du Christ en opposant à toute forme de violence la bienveillance et le dialogue. Et de demander à Dieu de faire se lever des artisans de paix capables de faire cesser la violence et d’œuvrer pour le bien commun.
DL
Source : Radio Vatican, 30/10/2014 04:38

Évidemment que cela a un intérêt ! Comprendre que ça commence enfin à bouger ! Un message crucial (!) d’espoir pour moi et l’humanité ! Mais est-il encore temps ??
Il ne faut pas hésiter à nous relayer ce genre d’informations ! Ce type d’analyses est encore trop rare, ne nous en privez pas, même si cela doit écorner un peu votre modestie…
Merci.
Les biens terrestres ne sauraient être privatisés par une poignées de personnes prétendant agir au nom de l’intérêt général !
la corruption se développe chaque jour un peu plus, la France recule dans le classement international sur ce point ; les décideurs à la tête du projet Sivens sont des multicasquettes qui ne connaissent sans doute pas les conflits d’intérêt.
la volonté de s’approprier est une plaie qui se surajoute au problème de l’érosion de la biodiversité et de la dégradation des écosystèmes. Ne pas se lever serait consentir. Chrétiens il est l’heure de choisir son camp, Dieu ou l’argent.