Ce sont donc tous les bâtiments du diocèse -églises, écoles et autres- qui vont faire l’objet d’une évaluation concernant leur usage en eau, leur efficacité énergétique et leurs émissions en gaz à effet de serre.
« C’est le premier diocèse américain qui réalise un tel audit et une telle enquête sur ces sujets, précise McCarthy. Nous espérons que cela servira d’exemples pour toutes les communautés croyantes du pays. »
D’autant que le diocèse ne part pas de rien. Plusieurs bâtiments sont déjà exemplaires : le séminaire Saint Joseph a déjà obtenu une certification LEED (Leadership in Energy & Environmental Design), avec son toit végétalisé, son contrôle des sources lumineuse et son système de chauffage. Par ailleurs, le cimetierre de la Résurrection, a un centre opérationnel qui est chauffé au solaire depuis 1978. Et l’école Old St. Mary, construite en 2011, a des panneaux solaires qui fournissent jusqu’à 40 % de son énergie électrique durant l’été. Un programme d’installation de nouveaux systèmes de chauffage de l’eau est aussi lancé qui a déjà été validé par 28 % des paroisses.
DL
Source : Art. Joyce Duriga, 27 juillet 2015, Catholic News Service