« Lorsqu’une crise frappe, qu’il s’agisse d’un effondrement économique ou d’une catastrophe naturelle, ce sont les pauvres et les laissés-pour-compte qui sont les plus touchés dans leur vie, les pauvres dans les pays pauvres et les pauvres dans les pays riches »,

« Alors que les Etats-Unis et l’Europe sauvent leurs banques et les institutions financières avec des milliers de milliards de dollars pour faire le ménage chez eux, il faut également les exhorter à réparer l’impact dévastateur que leurs erreurs ont causé dans le Sud ».

Patricia Sheerattan-Bisnauth, du bureau de l’Alliance réformée mondiale, chargé du renouveau de l’Eglise, de la justice et du partenariat, dans une déclaration du 18 novembre qui fait suite à la réunion du G 20.