Le journal français Libération aime traiter de sujets décalés. En voici un exemple récent : l’histoire de la vidange d’un étang au sein d’une propriété des dominicaines du Saint Esprit à Pontcalec (une congrégation enseignante traditionaliste catholique…) Une vidange due à un accident d’entretien, mais qui permet aussi de poursuivre la restauration de la continuité des cours d’eau en cours dans la région. Une restauration qui va aussi à l’encontre des habitudes des habitants. Quant aux sœurs, imperturbables, mis à part la nostalgie de leur étang, seul compte la mission éducatrice (classique) des enfants qui est la leur. A croire que la nature n’a rien à nous apprendre. Est-ce que Thomas d’Aquin serait bien d’accord ?
DL

