Il y a Solan, la Pierre-qui-Vire et puis Tamié… autant de monastères qui, petit à petit, intègrent dans leurs travaux, des pratiques environnementales et durables.
Sur le site de l’abbaye, on peut découvrir un article d’un journaliste de l’AFP, Mie Kohiyama, qui rend compte dans le détail de l’expérience de l’abbaye savoyarde de Tamié, perchée dans un merveilleux cadre alpin, au-dessus d’Albertville. On connaissait leur production de fromage réputée. On ne savait pas forcément que le petit-lait résiduel de cette petite industrie pouvait devenir aussi source d’énergie. En l’occurence du méthane, utilisé pour l’eau chaude. Le journaliste rappelle que si les travaux d’aménagement ont couté 255.000 euros, le retour sur l’auto-investissement s’est fait en quatre ans. Plus de 6000 euros d’économie par an.
Les bons moines n’ont pas fini de nous étonner par leur modernité…
DL
Églises & Écologies 